L’ancien premier ministre a par ailleurs défendu son ministre de l’économie, Bruno Le Maire, jugeant « scandaleux » le « procès politique, médiatique » qui lui est fait, et saluant son « obsession de désendetter la France ».
Un niveau de mauvaise fois qui devrait être interdit par la loi.
Dérapage des finances publiques : Gabriel Attal estime devant le Sénat avoir pris des « décisions fortes »
L’ancien premier ministre a par ailleurs défendu son ministre de l’économie, Bruno Le Maire, jugeant « scandaleux » le « procès politique, médiatique » qui lui est fait, et saluant son « obsession de désendetter la France ».