Mon père médecin à la retraite aimerait démarrer un podcast sur la médecine. Quel concept pourrait intéresser ?
Mon père médecin à la retraite aimerait démarrer un podcast sur la médecine. Quel concept pourrait intéresser ?
Comme le titre le dit, mon père recherche un sujet de podcast sur la medecine qui pourrait apporter de la nouveauté, à une période où tout peut se trouver sur internet.
Idée, suggestion, menace ?
Edit: merci à tous pour vos suggestions ! Mon père était doublement motivé par votre intérêt sur le sujet. Je ne sais pas quelle direction le podcast prendra, mais il y aura une dédicace à la communauté de jlai.lu et nous n'oublierons pas de faire un petit post sur forum libre :)
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Comment ne pas devenir hypocondriaque lors des études de médecine et l'exercice de son métier ?
Et quid de l'autodiagnostique des symptomes avec internet (forum, reseaux sociaux...) ?
Comment bien lire des études de médecine et analyse de cas complotiste. (Raoul, Antidepresseur/milleéertuis,...)
Mon corps : mon choix. la place de la vaccination obligatoire.
Divers trucs sur les medecin, le droit, le secret médical. Voire des anecdocte comme un célèbre médecin légiste.
le secret médical
à l'heure du tout-numérique.
C'est vraiment un sujet qui m’intéresserait. Quand j'ai l'audace de poser des questions innocentes sur les logiciels utilisés à des profesionnelles de la santé, ils me regardent comme si j'étais perché.
GDPR et Hippa, sont dans la tete des fabriquants de logiciels et matériels (qui sont souvent une brique chère sans software) donc il y a un minimum de cybersécurité côté fabriquant.
Après, souvent le problème est entre la chaise et le clavier, avec du partage de mot de passes, ou des trucs qui devraient pas etre connecté à internet voire des serveur VNC.
Souvent leur mimique vient du fait qu'ils n'ont jamais pris le temps de eux-même se poser la question.
Oui et il serait temps qu'on mette en place de mesure de cybersécurité. Cela inclut ne pas transmettre le dossier santé aux usa, ne pas le stocker sur des serveurs amazons. Après j'en ais ouvert un car c'était pratique. L'anasthésiste a pu consulté et me dire "ya eu ceci, que s'est-il passé ?" Alors que moi, j'en avais pas forcément conscience.
Ya cet aspect numérique.
L'autre partie qui m'interesse c'est connaitre le cadre du secret professionnel. Est ce que je peux en parler à des collègues ? Si oui comment ? Est ce que la justice peut le lever ? Si oui dans quelle condition ? Et quid des mineurs ? Et ado ? Est ce qu'un ado peut avoir ce secret médical étant donné qu'iel est autonome et capable de prendre des décision sans avoir à prevenir sa famille ?
Et les personnes handicapés ? Les mélancoliques ou troubles mentaux ? C'est un sujet assez riche.
Après ya pas que le droit, découvrir les maladies, batéries, virus, le fonctionnement du corps humain c'est super cool. Ya peut-etre des mécanismes qui nous échappe ?
Le secret médical, je crains un peu l'ignorance et l'insouciance des médecins là-dessus, le glissement régulier vers la surveillance totale ça suffit à me convaincre qu'un jour on devra en faire le deuil. Je n'oublie pas que la France a été un des seuls pays à exiger de violer ce secret quotidiennement pour exercer des droits fondamentaux pendant une période définie arbitrairement : le fameux passe sanitaire qui était obligatoire même pour des activités associatives où tout le monde s'en fout… avec des vaccins vendus (surtout au début) comme étant la panacée, et des tests chinois facturés une fortune sans engagements sur leur fiabilité.
Et pour l'ignorance des médecins, je pense que plus on les sensibilise sur les risques mieux on pourra se défendre.
Je suis partagé parce que ma mère avait le cancer et les gens ne se vaccinaient pas.
Le pass était un forcing pour que tout le monde se vaccine. Ya la question ditacture, on pouvait dériver mais aussi une question de protection sociale.
Et j'ai du mal à définir un juste milieu et éviter la dérive. Et on est pas obligé d'en faire le deuil, àa surement un système qui a bien marché. Sur l'instant t, avec le peu de donné sur le Covid, le confinement et le pass était un mal nécessaire pour protèger les gens vulnérables. Si tu as de la docu avec un système qui marche bien je veux bien la lire.
D'un autre coté, l'État a fallit a ses obligations : mettre l'hopital en sang et ne pas anticiper une éventuelle pandémie. Et j'attends leur condamnation. Je veux les voir au tribunal sur le banc des accusés et que ce soit diffusé sur toute les chaines à des heure de grandes écoutes.
Quand ya des morts aux urgences parce que ya pas assez de medecins, la justice devrait condamner l'État et réquisitionner le budget santé pour l'augmenter et ouvrir des lits.
Je peux comprendre que des gens vulnérables veuillent minimiser les risques, mais imposer des restrictions sur tout le monde pour la cause en mentant ouvertement sur les effets positifs d'un vaccin acheté à prix d'or (au poids, nettement plus) avec des procédés opaques : le discours au début de la campagne de vaccination était que ça arrêtait la transmission. Ça souligne juste l'ineptitude et l'autoritarisme du régime. En février-mars 2020 c'était encore tout à fait possible de rendre visite dans des EHPAD en ayant le COVID, y avait très peu de tests, de masques, et de restrictions, puis c'est devenu plus contraignant d'aller chez le coiffeur.
Et pour le confinement qui était un mal nécessaire, j'ai de gros doutes, en Chine ils ont été drastiques et même selon leurs statistiques pipeautées ils n'ont pas fait mieux que les pays qui n'ont pas imposé de confinement par la force (un des seuls étant la Suède, où finalement les gens l'ont fait d'eux même), la France non plus n'a pas fait mieux, et selon les données de pistage par les opérateurs téléphoniques ce n'était pas très respecté à pas mal d'endroits. À part le tertiaire quasiment mis à l'arrêt tout le monde a continué de sortir et de travailler en 2020 et 2021 en France, à régime réduit. Pendant des mois je devais m'auto-attester autorisé à sortir pour éviter les contacts inutiles avec des humains puis je travaillais collé à mes collègues sous des métros, au début sans masque parce qu'ils avaient tous été envoyés aux hôpitaux et qu'on nous disait que c'était contreproductif d'en mettre.
À mon avis il ne faut rien pardonner aux gouvernants, je lis parfois « les pauvres ils devaient faire avec peu d'informations et décider malgré tout » et leur premier réflexe a été de violer les droits imprescriptibles des citoyens et de laisser leurs chiens de garde oppresser les pauvres qui allaient s'acheter des serviettes hygiéniques.
Si je me trompe pas, à vérifier, le vaccin limitait la transmission au début mais avec les mutations du covid ce n'était plus vrai et c'était le masque et aération qui agissait vraiment.
Là où je ne suis pas d'accord c'est "des gens vulnérables veulent miniser les risques". En fait, je le fait pas que pour les gens vulnérables mais pour tous et toutes et le covid touche aussi des personnes sportives, trentenaire, en bonne santé en plus d'avoir un effet cumulatif. Ça nous concerne tous et toutes.
Si je me protège, alors je protège aussi les autres et c'est pas tellement plus contraignant.
La vaccination nous a tous protègé parqu'elle évitait la saturation des hopitaux. Son role était d'éviter les cas grave via une pré-defense par injection d'un corps étranger permettant à notre corps d'identifier le covid et de l'éliminer rapidement avant d'atteindre le seuil critique.
C'est le point le plus important. On a un nombre de medecins limités, une capacité d'intervention limité. C'est comme un verre d'eau que tu remplis. Le verre, c'est les medecins. L'eau, les malades. Tu le remplit avec plusieures couleurs :
- rouge, cancer
- vert, fracture lié au sport
- orange, diagnostique médicaux...
Et tu as le rose pour les malades du covid, les cas graves. Si tout le monde n'est pas vacciné du covid, alors ce verre déborde. Et tout le liquide qui déborde, ce sont les morts, pas forcément liés au covid.
Et c'est pour cela que je suis partagé avec le pass.