Pour éviter des milliards d’euros d’amende, l’Association des constructeurs européens de voitures plaide pour que l’objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, prévu en 2025, soit décalé en urgence grâce à l’utilisation du « 49.3 européen ».
Stellantis, qui n'est plus membre de l'ACEA depuis 2022, s'en sortirait mieux, grâce à son offre de petites voitures électriques et son alliance avec le chinois Leapmotor. A partir de 2025, la norme favorisera en effet les voitures légères alors que les calculs jusqu'à présent avantageaient les véhicules les plus lourds.