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Jeux vidéo : « L’industrie n’a plus besoin des journalistes spécialisés pour exister »

Triste réalité d'un segment de la presse qui meurt à petit feu. J'ai de l'espoir en son renouveau et les initiatives qui sont apparues dernièrement comme Sumimasen Turbo ou Origami en sont la preuve.

9 comments
  • J'ai des souvenirs d'être tout excité en lisant un Joystick sur Guild Wars autrefois. Je me souviens aussi qu'il disait pas mal d'exagération basées sur le marketing des jeux parce qu'ils n'avaient pas le temps de jouer vraiment avant de publier.
    Joueur patient aujourd'hui, lire les critiques diverses d'anonymes sur les réseaux pendant un an ou plus avant de peut-être me décider me suffit bien largement à trouver les bons jeux.

  • Idem pour les salons de jeux. Ça n’a plus aucun sens aujourd’hui.

    Seul certains type de compétitions reste en présentiel ; les jeux de combats où la victoire se joue à quelques images. Et avec le rollback netcode qui se démocratise, le présentiel peut être organisé autour de quelques compétiteurs uniquement (les 64 finalistes, par exemples).

    Avec internet, tu as accès aux joueurs, au vidéos. L’attraction tourne autour de la présence d’un jeu sur les déférents cercles sociaux. Le centre de l’intérêt des gens tournent autour des influenceurs dont la plupart sont des quidams.

  • Y a The Pixel Post si vous connaissez pas, c'est une petite équipe bénévole et j'aime bien ce qu'ils font perso, c'est quali je trouve

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